Le Ministre de l’éducation nationale, de l’alphabétisation et de la promotion des langues nationales a conduit une équipe de précurseurs pour préparer le Sommet. Dans la Journée d’hier,  il a tenu une réunion de travail avec la mission permanente du Burkina Faso à New York. Les enjeux du Sommet ont été  passés en revue de même que les actions de plaidoyer à mener au cours de la Journée de mobilisation. Également, les solutions à partager au reste du monde et  les positions que le pays devrait défendre au cours du Sommet des chefs d’Etats et de gouvernements qui s’ouvre ce lundi 19 Septembre.
 
Au siège des Nations Unies, les gouvernants vont tenter de trouver des solutions à la crise mondiale de l’éducation.
 
On estime que 31 millions d’enfants restent perturbés par les fermetures d’écoles dans le monde, et si rien n’est fait, la proportion d’enfants qui sortent des écoles sans savoir lire ni écrire pourrait attendre 70%.  La communauté internationale devrait redoubler d’efforts dans l’action et la solidarité pour explorer des solutions de systèmes éducatifs performants afin d’accompagner et soutenir la transformation des sociétés d’ici 2030.

L’enjeu pour des pays Africains comme le Burkina Faso sera de mobiliser des soutiens Internationaux pour accompagner les efforts du pays.
 
A cette importante tribune, le premier Ministre burkinabè Albert Ouédraogo va livrer la déclaration nationale d’engagement du Burkina Faso, qui a fait l’objet d’un consensus entre tous les acteurs de l’éducation.  Elle décline une vision, une démarche et des actions à mettre en œuvre pour promouvoir une éducation inclusive, équitable et de qualité. Il annoncera l’engagement du gouvernement à consacrer progressivement 30% de son budget à  la priorité éducation sur la période 2021– 2025.
DCRP/MENAPLN.